Auteur : Odette34  

À l’occasion d’un goûter de fin d’année organisé mardi au collège Léonard de Vinci d’Ecquevilly, dans les Yvelines, une professeure a été hospitalisée après un soupçon d’empoisonnement, rapporte Le Parisien.

Cette professeure d’arts plastiques a ingéré une boisson sucrée, tendue par un élève, avant de se sentir mal. Elle a alors été transportée à l’hôpital de Meulan, incommodée par des brûlures au niveau des voies digestives.

Deux jours plus tard, ce jeudi 21 décembre, l’adolescent qui a tendu le verre à la professeure a avoué. Cet élève scolarisé en troisième a reconnu avoir versé du détergent dans le gobelet, indique TF1info.fr.

Auteur : Odette34  

Tenative d'empoisonnement

Auteur : Odette34  

Nanterre : un professeur d’histoire-géographie menacé de mort après avoir évoqué les attentats islamistes
Un tag faisant référence à Samuel Paty a été découvert dans l’enceinte de l’établissement scolaire. Le professeur visé par les menaces bénéficie désormais de la protection fonctionnelle.

Les exemples de menaces envers des enseignants se multiplient. À Nanterre, un professeur d’histoire-géographie du lycée Joliot-Curie a été menacé de mort, à la suite d’un cours dans lequel l’enseignant a évoqué les attentats islamistes, relate Le Figaro. L’inscription « T’es more (sic) comme Samuel Paty fdp (fils de pute, NDLR) » a été découverte, taguée au sein de l’établissement scolaire.

Selon les informations de BFMTV, ces menaces font suite à un cours portant sur le conflit israélo-palestinien, dispensé le 17 octobre dernier. Plusieurs messages haineux à l’encontre du professeur avaient été diffusés sur les réseaux sociaux, après ce cours. Le proviseur du lycée Joliot-Curie a déposé plainte le 9 décembre dernier, a précisé le parquet auprès de la chaîne d’information en continu.

Le professeur bénéficie d’une protection fonctionnelle
De son côté, le rectorat de Versailles a affirmé « condamner les propos qui ont visé ce professeur » et a précisé que le fonctionnaire bénéficie désormais de la protection fonctionnelle. « La situation est particulièrement suivie par le rectorat et la direction des services départementaux de l'éducation nationale (DSDEN) des Hauts-de-Seine en lien avec les forces de police », a ajouté l’académie. L’enseignant visé par ces menaces n’a pas encore pu réintégrer l’établissement scolaire, mais souhaite retourner en cours dès la fin des vacances de Noël.

Auteur : Odette34  

Le proviseur d’un lycée du 20e arrondissement de Paris a été menacé de mort sur les réseaux sociaux après avoir demandé à une élève de retirer son voile, a appris Le Figaro auprès du parquet de Paris, confirmant des informations d’Europe 1 . Le pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) a ouvert une enquête pour «cyberharcèlement à la suite de menaces de mort», précise encore le parquet.

L’altercation entre le proviseur et l’élève a eu lieu ce mercredi au lycée Maurice Ravel. Selon l’Académie, l’incident a «été repris et détourné sur les réseaux sociaux, générant des propos diffamatoires et des menaces». L’institution affirme que «la situation est suivie par le Rectorat et les services de police pour garantir la sécurité de l'ensemble des élèves et des personnels de l'établissement.»

Grâce aux investigations menées, des menaces de mort à l'encontre du proviseur ont été relevées sur les réseaux sociaux, assure le parquet.

Un épiphénomène, comme disaient nos gogoches béats

Un petit mot peut-être de "brelltz" histoire de rire un coup !!

Auteur : Lorie  

mais jusqu'où ça va aller ???

Auteur : Odette34  

ça continue encore et encore

Auteur : Odette34  

Un adolescent de 14 ans soupçonné d’avoir menacé de mort une professeur d’EPS d’un collège de La Seyne-sur-Mer (Var) a été identifié, a appris Le Figaro du procureur de la République de Toulon, Samuel Finielz.

Ce jeune garçon résidant dans l’agglomération toulonnaise est suspecté d’être à l’origine d’un appel téléphonique menaçant à l’encontre de l’enseignante. Celle-ci avait reçu un message vocal sur son téléphone personnel d’un individu promettant de la «découper», de l’«égorger» et de la «tuer», expliquant notamment qu’il avait été exclu de son établissement par sa faute.

On est bien