Auteur : Odette34  

14/ tes abonnements à Médiapart, Libé et l'Huma sont résiliés ?

Allez c'est kdo
www.lepoint.fr/politique/quel-bilan-pour-gabriel-attal-a-l-education-nationale-09-01-2024-2549319_20.php

Auteur : Breizh  

Résumons: l'abaya est interdite depuis 2004, il a publié une circulaire qui le rappelle. Il a fait quelques annonces martiales non suivis d'effets. Il a annoncé des groupes de niveaux mais ça attendra la rentrée prochaine et l'intérêt n'est pas évident. Il a annulé quelques réformes absurdes de Blanquer sur le brevet des collèges et le bac.

Auteur : Odette34  

Il y a un type en France qui pense ça. Je ne sais pas pourquoi il se promène avec un entonnoir sur la tête et promène sa brosse à dent au bout d'une laisse en l'appelant Médor.

Auteur : Odette34  

Ce n'est pas l'affaire du siècle. Mais elle en dit si long sur la tartufferie nationale ! Amélie Oudéa-Castéra, la nouvelle ministre de l'Éducation, a provoqué une tempête médiatique pour avoir osé dire pourquoi elle avait scolarisé ses enfants au collège-lycée Stanislas, fleuron de l'enseignement privé catholique : avec son mari, elle en a eu « marre » des « paquets d'heures qui n'étaient pas sérieusement remplacées » dans l'enseignement public. Comme « des centaines de milliers de familles », ils ont fait, qui plus est, « le choix » d'une solution de « proximité » puisqu'ils habitent à côté, rue Stanislas.

Que n'avait-elle pas dit ! Un déluge de protestations s'abattit sur l'impudente, qui présenta aussitôt ses excuses pour avoir dit la vérité. À croire que c'est un crime de parler des non-remplacements d'enseignants absents alors que 24 000 sont en disponibilité sur les 853 700 que compte l'Éducation nationale. Cette profession n'est pourtant pas tire-au-flanc, contrairement à une légende : ses salariés sont en moyenne moins souvent en congé maladie que les autres fonctionnaires. Mais, au lieu d'évoquer des dysfonctionnements, n'aurait-il pas été plus malin de rester dans le déni en laissant pisser le mérinos ?

Avec son chœur de pleureuses, la gauche nous a donné de belles leçons de vertu, à ce propos, et même un très grand moment de télévision :

Ssur France Info, après que Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne, eut dénoncé l'« entre-soi social » des « catégories les plus favorisées », incarné par l'école privée, la journaliste lui a demandé incidemment où ses enfants étaient scolarisés.
Sourire jaune de vierge pure de l'élu, qui reconnaît que son fils « est passé un petit peu dans le privé ».
Défense de rire. Nous avons là un condensé de l'hypocrisie française qui est, hélas, devenue l'idéologie dominante des « élites » de notre pays.

www.lepoint.fr/editos-du-point/ce-que-revele-la-fausse-affaire-oudea-castera-15-01-2024-2549760_32.php

Et si la vraie raison qui fait que ces bobos de gauche mettent leurs enfants dans des établissements cathos n'étaient pas le non remplacement des profs dans le public mais le grand remplacement des élèves par la diversité musulmane. Les gens de gauche sont très forts pour dire ce qu'il ne faut pas faire en le faisant hypocritement eux même.

Auteur : Odette34  

Autrement dit, si les parents préfèrent le privé aujourd'hui, c'est parce que l'exigence et l'ambition qu'on y trouve sont annonciatrices de la dureté du monde professionnel à laquelle devrait précisément préparer l'école.
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Les élites cherchent aussi à doter leurs enfants d'un utile réseau social. Le plus jeune ministre de la Ve République n'a-t-il pas fait « l'Alsa » comme les enfants de Pap Ndiaye ?
Si la droite opte plutôt pour Stanislas, Saint-Jean de Passy ou Franklin, les partisans d'Emmanuel Macron préfèrent en effet l'école Alsacienne ou Jeannine-Manuel.
Dans tous les cas, c'est le privé qui gagne et qui fait gagner. A fortiori à l'heure où l'école publique a décroché. L'humiliation de la France dans les tests Pisa en apporte la preuve, année après année.
Et le président de la République lui-même l'a reconnu dans son discours du 25 août 2022 devant les recteurs : « l'école de la République n'est plus à la hauteur ».

Auteur : Breizh  

On assiste au séparatisme des riches: ils mettent leurs enfants dans des écoles privées mais grassement financées par l'argent public pour qu'ils ne soient pas avec les pauvres. Dans le cas de la ministre c'est différent: il n'y a déjà pas de pauvres dans le public du 6e arrondissement de Paris, pour aller à Stanislas il faut être un peu réac.