ment de la France .

"Lettre de Axelle Thellier de l'institut de la justice :
Bruno Guillon, un célèbre animateur radio, a été victime d’un cambriolage violent.
Et l’animateur a enfin pu raconter ce qu’il s’est passé sur RTL…Le journaliste Yves Calvi lui a dit :

“Je crois important de vous dire d'abord que tous vos amis du groupe M6 de son pôle radio, RTL, RTL 2 et Fun radio sont heureux de vous retrouver et que nous pensons affectueusement à votre famille.”
Il rappelle ensuite le calvaire vécu par l’animateur et affirme : “c’est d’ailleurs tout ce que nous redoutons les uns et les autres.”...

"On va vous buter, tais-toi, on sait qui t’es"

Vers 3h40 du matin plusieurs individus, trois selon Bruno Guillon, plus selon d’autres médias, entrent chez eux. (1,2)
Ils passent par une chambre d’amis, située au rez-de-chaussée et dont ils ont cassé un carreau.
Bruno Guillon entend ensuite son fils de 14 ans, Anatole, qui parle avec un homme dans la nuit.

Le temps qu’il se lève, il se voit pointer un revolver sur le front. Il reçoit des menaces de mort.
Son fils est aussi menacé.
On attache les mains de Bruno Guillon dans le dos. Il est placé dans la chambre de son fils et on lui dit que s’il fait quoi que ce soit, il sera tué, ainsi que sa famille.

Les malfaiteurs emmènent sa femme dans le couloir. Le revolver est pointé sur sa tempe.
Un autre homme la menace avec un marteau. (1,2)
Finalement, ils demandent à la femme de leur remettre ce qu’il y a dans le coffre... ce qu’elle fait.
Les malfrats repartent avec un butin évalué à 80 000 euros.
Le cauchemar a duré 15 minutes…


La une des médias durant quelques jours
En temps normal, les cambriolages n’intéressent que modérément les médias.
Mais cette fois, c’est l’un des leurs qui est visé.
L’histoire a donc suscité de nombreuses discussions à la télévision, à la radio et dans la presse. (4,5,6)
De nombreux journaux ont relayé l’information, Bruno Guillon a été interviewé à plusieurs reprises.
TPMP, l’émission de Cyril Hanouna sur C8, y a consacré deux longues séquences dans les jours qui ont suivi l’événement. (2,7)


Des chroniqueurs inquiets pour leur propre sécurité
Lors de la première séquence, les chroniqueurs de TPMP reviennent sur les faits. (2)
Ils sont terrorisés à l’idée que la même chose puisse leur arriver.

Ils décortiquent la situation. L’un d’entre eux rappelle que la maison de Bruno Guillon est située dans les Yvelines, non loin des Mureaux.
Tout le monde comprend qui a agi, il n’est pas nécessaire d’en rajouter…
Une bande criminelle de banlieue est venue dévaliser une maison bourgeoise. L’affaire, hélas, est devenue classique.
Les chroniqueurs se disent entre eux que les délinquants devaient être bien informés et étaient très organisés.

On sent que chacun imagine sa propre maison, son propre système d’alarme. Chacun se demande comment il doit faire pour se protéger mieux.
Le constat est clair mais ils n’en tirent aucune conclusion !
Le deuxième séquence réunit d’autres chroniqueurs. (7)

Hanouna revient sur l’affaire du cambriolage et de la séquestration.

Il demande à ses chroniqueurs si eux aussi ont connu des situations similaires.
Le tour de table est édifiant. Chacun raconte l’agression qu’il a subie.
Et tous les chroniqueurs ont vécu une situation violente : raquet, tentative de viol, agression sexuelle, vol avec violence,etc.
Ce qui a souvent choqué les chroniqueurs, c’est que personne n’est intervenu lors de l’agression.
Hanouna tempère les débats en disant que lorsque l’on réagit on risque de se prendre un coup de couteau… Il n’a pas tort…

Quand l’électrochoc aura-t-il lieu ?
Je dois vous avouer qu’à écouter ces différentes discussions, j’ai ressenti un certain malaise...

Evidemment, Bruno Guillon, comme la plupart des citoyens français aujourd’hui, est une victime de l’ensauvagement du pays.
Avec sa famille, ils ont vécu un profond traumatisme.

Mais quand les médias vont-ils se réveiller enfin ?
La question n’est pas de savoir comment mieux protéger sa maison ou comment mieux choisir son quartier !
La vraie question, la seule valable, est de savoir quelle réponse politique et judiciaire est capable de répondre à l’insécurité.

C’est évidemment un problème de société.
Or les mêmes qui, aujourd’hui, pleurent devant la caméra, fustigeaient, hier, les responsables politiques prônant une réponse forte à l’insécurité.
On ne les a jamais entendus soutenir la moindre réforme de la justice.

Pour ces personnes, Bossuet avait une formule lapidaire :
“Dieu se rit des créatures qui déplorent les effets dont elles chérissent les causes.”

La seule réponse possible est une justice efficace !
Il est temps que ces élites médiatiques se réveillent, qu’elles mettent enfin la pression sur la classe politique pour que la justice redevienne la justice.
Tant que la peur n’aura pas changé de camp, les belles villas des élites médiatiques se feront piller sans qu’elles ne puissent y faire grand chose.

Vous le savez : la seule solution durable et utile pour l’ensemble des citoyens est que la justice retrouve sa fermeté.
Cela passe par des sanctions claires et systématiques.
Tant que les voyous ne craindront ni la loi, ni ceux qui la représentent, ni ceux qui sont censés l’appliquer, il y aura des multirécidivistes pour nourrir les bandes criminelles des banlieues…
Et les célébrités connaîtront ce que vous et moi connaissons : agressions, cambriolages, etc.

Avec tout mon dévouement,

Axelle Theillier "

Tant que les voyous ne craindront ni la loi, ni ceux qui la représentent, ni ceux qui sont censés l’appliquer, il y aura des multirécidivistes pour nourrir les bandes criminelles

A quand les sanctions pour "ceux et celle qui détournent de l'argent public au sein de la Communauté Européenne pour le compte de son Parti N .......?

Quelle rapport avec cette lettre de l'institut de la justice .....encore une attaque à sens unique sur un problème qui touche tous les partis et que la justice s’occupe... contrairement à toutes les racailles qui sont jugés par le syndicat de la magistrature syndicat d’extrême gauche qui pardonne toujours ou pratiquement .....à nos" chances pour la France "