Auteur : Duncan  

(27) En lui expliquant bien qu'il se prend pour le roi du monde depuis sa chambrette.

Auteur : Duncan  

Par contre , en plein air il est très poli.

Auteur : Tiptop  

Comparer des humains à des cafards qu'il faudrait bruler pour les exterminer c'est une méthode déjà employée par le passé par les...
Breizh!!!
Les?
Il met le mot à toutes les sauces et là il ne l'écrit pas.

Nous avons 2 étranges individus sur le forum un qui dit que la police est une mafia de criminels et l'autre qui dit qu'il veux employer des méthodes genre bombe atomique et "solution finale"

Qu'en pensez vous?
On est bien

Jmlp a dit il y a 30 ans que les affaires entre la Russie et l'Ukraine sont des affaires de famille

Le même Jean Marie Le Pen a été condamné pour ses propos sur les chambres à gaz

Comme chez toi, il y à boire et à manger

Ici nous n'avons que des personnes logiques qui parlent quand elles devraient se taire et qui pleurnichent quand elles devraient se taire

Déjà de bon matin !! ?? ....... de la brume sur Carnon ?

Ce serait plutôt du brouillard éthylique.

Auteur : Odette34  

«L'heure est grave, la France tombe», a estimé ce lundi 25 mars sur CNEWS Malika Sorel, numéro 2 sur la liste du Rassemblement national aux élections européennes.

Invitée de la Grande Interview sur CNEWS et Europe 1 ce lundi 25 mars, Malika Sorel, numéro 2 sur la liste du RN aux élections européennes, s’est exprimée sur la situation de la France.

«L’heure est grave. La France tombe, c’est une réalité», a d’abord estimé l’essayiste, interrogée sur la mise en place du plus haut niveau du plan Vigipirate en réaction à l’attentat à Moscou.

«Nous sommes confrontés à un chaos tous azimuts. Le chaos migratoire, le chaos sécuritaire, le chaos économique, avec des fermetures d’entreprises chaque jour et le chaos financier» a déclaré Malika Sorel.

La numéro 2 sur la liste du Rassemblement national aux élections européennes a notamment évoqué la dette de la France : «En 2007, lorsque François Fillon disait ‘je suis à la tête d’un État en faillite», nous étions à 1.200 milliards d’euros de dette. Aujourd’hui, Emmanuel Macron nous a amenés à 3.300 milliards d’euros de dette».

Des chiffres et deux lettres...minuscules et ridicules.

www.lesechos.fr/elections/candidats/presidentielle-le-chiffrage-bancal-du-projet-de-marine-le-pen-1400605

Faut dire que quand on est née blindée dans un château, nul n'est besoin de savoir compter. A part sur la démagogie et le populisme, bien entendu.