Puisque les criminels adorent la France et qu'on ne peut pas (ou veut pas les expulser, envoyons les au milieu de la forêt guyanaise.

UNE ineptie de plus, rien "détonnant" non plus

Ouah du grand Jivan !!

Message: 8 oui bonne idée on mets toutes ses racailles sur une îles on leur donne les moyens de survivre.... et ils ce démerdent ....!!

oui bonne idée on mets toutes ses racailles sur une îles on leur donne les moyens de survivre.... et ils ce démerdent ....!!

Réponse niveau "QI d'un moineau"

Tu n'étonneras personne, c'est un refrain que l'on entendait à Toulon voilà cinq décennies déjà.

Donc rien de nouveau à l'horizon, le FN sort la poussière qu'il avait poussé sous le tapis.

Message 13 Non seulement je ne suis pas du RN, je partage juste certaines de leurs idées ....mais apparemment ton grand QI à toi ne peut le voir !!
Allez je te laisse à ton grand vocabulaire ......!!

"En 30 ans, le doublement des places de prison n’a pas réglé la surpopulation. Les personnes susceptibles d’être incarcérées sont de plus en plus nombreuses.
Davantage de comportements sont jugés criminels, la définition de certaines infractions est plus large, plus lâche, plus floue. Ce sont les pauvres et les marginalisés qui payent, partout, le prix de la prison. En France, une enquête du Secours Catholique et d’Emmaüs conclut que « la prison fonctionne aujourd’hui comme un mode de gestion de la pauvreté situé à l’abri des regards ».
La construction de prisons répond davantage aux symptômes qu’aux causes. Personne n’en veut près de chez soi. La construction prend entre cinq et dix ans : nouvelle prison, normes déjà obsolètes. Cette politique est coûteuse : la construction et l’entretien représentent des dizaines de millions d’euros chaque année, un budget qui ne cesse d’augmenter."
ledrenche.fr/faut-il-construire-de-nouvelles-places-de-prison/

"Fau-il construire des places de prisons ?" ...ou simplement ajouter un "t" pour que ça sonne moins faux ?
Ou faut-il rouvrir les bagnes ?
www.youtube.com/watch?v=ppSpFhQKQCA
Bref, la question est posée.