◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄6789101112    ►►

Vive la France !!
Auteur : Horel 
81/91

Date :    02-01-2024 20:37:09


«En France on s’est senti moins en sécurité qu’ici» : ce couple de Franco-Israéliens a décidé de renter en Israel .


Par CNEWS
Publié le 01/01/2024 à 16:00 - Mis à jour le 01/01/2024 à 16:00

Certains Franco-Israéliens sont rentrés en France pour fuir la guerre. D'autres ont préféré un retour en Israël pour, paradoxalement, plus de sécurité. C’est le cas de Renée et Haim Harroch, que CNEWS a rencontré.

Le paradoxe face à l’antisémitisme. Rapatriés en France au début du conflit entre Israël et l’organisation terroriste du Hamas, Renée et Haim Harroch, un couple de Franco-Israéliens, ont fait le choix de rentrer en Israël pour retrouver la sécurité.

Lorsque les attaques du Hamas contre Israël ont débuté le 7 octobre dernier, Renée et Haim ont été réveillés par des centaines de roquettes tombées à quelques mètres de leur terrasse. «On voyait les roquettes tomber et on avait peur parce que ça pouvait tomber sur la maison. C’est déjà arrivé chez ma sœur», a confié Renée Harroch.
«On avait peur de sortir»

Face à l’intensification des combats, ils ont décidé, à contre-cœur, de quitter leur pays. Au micro de CNEWS, Renée s’est souvenue : «c’est ma sœur qui nous a donné les coordonnées du ministère des Affaires étrangères, après quoi mon mari a téléphoné et c’est comme ça qu’on a été rapatrié en France. Pour nous changer les idées et pour la sécurité».

Mais, de retour en France, le couple s’est dit victime d’antisémitisme et s'est senti en grande insécurité. «On a ressenti qu’il n’y avait plus de sécurité en France malgré les soldats qui circulaient dans les rues, malgré la police», a expliqué Haim Harroch. «On avait peur de sortir point final. On habite à dix kilomètres de la bande de Gaza, on est parti en France et en France on s’est senti moins en sécurité qu’ici», a-t-il ajouté.
Sur le même sujetIsraël-Hamas : l'intégralité du bouleversant témoignage de Mia Schem, ex-otage franco-israélienne du groupe terroriste (vidéo)Lire

Face à cette peur grandissante, le couple a décidé de repartir en Israël. Si les combats ne sont qu’à quelques kilomètres de leur appartement, ils se disent moins inquiets pour eux-mêmes que pour leur famille restée en France.
www.cnews.fr/videos/monde/2024-01-01/en-france-sest-senti-moins-en-securite-quici-ce-couple-de-franco-israeliens
Auteur : Breizh  
82/91

Date :    02-01-2024 22:00:18


Le rêve de CNews (et donc du FN) serait que tous les Français juifs s'installent en Palestine, a la fois pour les faire disparaitre de notre pays et pour tuer des Palestiniens. La réalité est que les juifs vivent en paix en France, et qu'en Israël il y a la guerre et un gouvernement corrompu en train de détruire ce qu'il restait de démocratie.
Auteur : Horel 
83/91

Date :    03-01-2024 08:56:38


...D’un âne, on ne fera pas un cheval de course !
Auteur : Odette34  
84/91

Date :    16-01-2024 20:26:17


Auteur : Odette34  
85/91

Date :    22-01-2024 15:14:56


"Ça a un peu le goût du saucisson" : dénicher de la viande de singe à Paris, c'est possible ! Bon appétit !
Par Lisa Guillemin Publié le 22/01/2024 à 7:00

Des singes victimes d'un trafic illégal méconnu ? Pas très difficile de trouver de la « viande de brousse » à Paris, en particulier auprès de certaines échoppes africaines. La preuve en une journée.

« Mama, tu sais pas où l’on peut trouver de la viande de brousse ? » lance Sékou, un jeune Malien, à la vieille femme ivoirienne assise devant l’une des nombreuses échoppes africaines de la rue Dejean, dans le quartier de Château-Rouge, à Paris. Viande de porc-épic, de pangolin ou de singe, il est possible d’en trouver en France, souvent importée par les diasporas d’Afrique subsaharienne pour des consommations individuelles. « Allez voir dans les boutiques “exo” [pour exotiques] de la rue adjacente » conseille-t-elle. On tente un premier magasin, rue Myrha. Une forte odeur d’ammoniaque se dégage des poissons séchés qui reposent sur un comptoir aux côtés des chenilles bouillies et déshydratées. « Vous demandez cela comme si de rien n’était… reproche la gérante congolaise en laissant échapper un « tchip » (un bruit de succion signe de désapprobation dans les cultures africaines). Allez voir chez les Ivoiriens. »

A LIRE AUSSI : De la jungle du Liberia à Paris… comment la viande de singe atterrit dans nos assiettes

On ne déniche pas si facilement cette viande tant convoitée. N’allez surtout pas en demander à la première épicerie africaine venue – surtout si vous ne faites pas partie de la communauté –, vous risqueriez de passer pour un mouchard. Mieux vaut faire jouer ses réseaux et compter sur le bouche-à-oreille. Après avoir été trimballé d’une boutique ivoirienne à une autre, c’est au bout de la cinquième, rue Doudeauville, que l’on nous propose la fameuse viande de brousse. Aujourd’hui, on y vend des porcs-épics entassés dans un sac en toile à côté de la caisse, mais pas de singe. « Mon cousin revient d’Abidjan dans huit jours, il peut en rapporter si vous commandez » propose le gérant, un peu méfiant.

À DÉGUSTER EN FAMILLE
« Le singe, c’est un plat intime, tu ne peux pas le manger avec n’importe qui. Ça se savoure uniquement avec les proches », explique un client. Et quid du goût ? « Ça dépend du palais de chacun » poursuit-il. « Moi je trouve que ça ressemble un peu à du saucisson », intervient une dame, qui conseille de « faire cuire la tête dans un bouillon d’aubergine, d’ail, avec un peu de piment, de laisser mijoter une heure, et d’écraser le tout quand c’est ramolli ».

« Un Ivoirien qui consomme de la viande de singe ici, c’est un peu comme un Français expatrié qui mangerait du camembert aux États-Unis, où c’est interdit. Sauf que là, il s’agit d’une espèce protégée », explique Fabrice Gayet, contrôleur principal des douanes et référent sur le sujet. Car pour les membres des diasporas d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, la consommation de cette viande est avant tout individuelle et familiale. « On n’a pas affaire à un réseau organisé comme la drogue. La plupart du temps, les gens que nous interceptons ont fait l’aller-retour au pays et en rapportent en petite quantité pour leur usage, ou pour des connaissances qui leur ont passé commande », poursuit le fonctionnaire, qui exerce à Marseille.

Ceux qui n’ont pas de contact direct passent par les réseaux sociaux. Sur Facebook, les numéros de téléphone des fournisseurs se dégotent en deux clics, entre deux photos de singes éventrés…
Grace, qui vit à Adzopé, en Côte d’Ivoire, fournit la marchandise par l’intermédiaire de sa sœur, qui se rend à Paris dans quelques jours. Mais il faut régler avant.
Le singe moyen est vendu 25 000 francs CFA (soit 38 €) et le singe « gros gros » 38 000 (58 €). Les primates viennent de Tiassalé et de Bongouanou, toujours en Côte d’Ivoire.
Ils sont « fumés et frais » vidéos démonstratives à l’appui. Quoi ? Ça vous a coupé l’appétit ?

www.marianne.net/societe/alimentation/ca-a-un-peu-le-gout-du-saucisson-denicher-de-la-viande-de-singe-a-paris-oui-cest-possible
Auteur : Tiptop  
86/91

Date :    23-01-2024 18:54:34


Auteur : Jivan 
87/91

Date :    23-01-2024 19:51:44



Tip,

Contre la constipation, dragées Fucca ....... sans exagération bien entendu.....

.... ensuite tu sera au .... Top

Auteur : Tiptop  
88/91

Date :    24-01-2024 07:56:07


Je ne mange pas de singe!
Pour toi mettre un smillé vomir serai un signe de constipation?

Arrête un peu de nous faire ta guenon, d'autres que toi s'en chargent déjà très bien

◄◄6789101112    ►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »