Auteur : Odette34  

Vaincue, l’inflation ? Le ministre de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, va un peu vite en besogne. Des économistes attendent encore 3,3 % de hausse des prix en 2024. La faute aux tensions sur le pétrole et l’énergie. Mais également aux multinationales qui veulent toujours grossir pour maintenir bien leurs prix donc leurs marges.

Auteur : Odette34  

D’abord, les tensions exacerbées au Moyen-Orient et la poursuite de la guerre en Ukraine ne vont pas calmer les prix de l’énergie. Et l’État ne peut se permettre de forger un nouveau bouclier tarifaire pour protéger les usagers du gaz, de l’électricité ou les automobilistes.

Et pour cause, le dispositif lui a coûté environ 30 milliards d’euros en 2023. Les économistes de l’OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques) anticipent une hausse des prix de l’énergie de 6,5 % pour 2024. Et donc une inflation, tous produits confondus, de 3,3 %.

www.marianne.net/economie/economie-francaise/petrole-energie-marges-des-multinationales-linflation-joue-les-prolongations

Tu espères convaincre de quoi avec cet article issu encore de Marianne et sans oser donner ton avis ?
Que le métier de colleur d'affiches, c'est l'avenir ?

Auteur : Odette34  

Au secour, je suis harcelée par une femme à barbe

Non, non madame je suis hétéro et vos message d'amour ne m'intéressent pas

Auteur : Odette34  

Plus pervers encore pour le budget des salariés, le comportement des grandes multinationales en quête de marges bénéficiaires. Elles aussi doivent payer les factures de gaz et d’électricité, s’approvisionner à un coût plus élevé auprès de leurs clients, rembourser des crédits contractés à un taux d’intérêt en hausse mais elles connaissent une parade pour compenser cet « excès » de dépenses : le « pricing power ». En bon français, la capacité à maintenir bien haut perché leur prix.

Auteur : Odette34  

Pourquoi le prix de l’électricité va augmenter au 1er février
L’autorité indépendante du secteur a proposé une baisse des tarifs. Mais le gouvernement va augmenter les taxes sur l’électricité. L’augmentation pourrait aller jusqu’à 10 % pour les ménages.

Par Nicolas Guarinos Publié le 11/01/2024 à 13h30

Une baisse… mais une hausse quand même. La Commission de régulation de l'énergie (CRE) a délivré, le 10 janvier, sa proposition au sujet des tarifs réglementés de vente de l'électricité. Ces tarifs concerneront les ménages et les petites entreprises à compter du 1er février. La CRE a proposé une baisse du tarif moyen de 0,35 % hors taxe. Un chiffre qui tient compte de l'évolution à la baisse des prix sur les marchés de gros.

Grâce à la relance de plusieurs réacteurs nucléaires, mis à l'arrêt l'an dernier pour des problèmes de corrosion, et à un saut de la production par l'énergie hydraulique, la France produit davantage d'électricité. Une concertation avec les principaux acteurs du secteur de l'énergie s'ouvrira le 15 janvier.
Or, malgré cette proposition favorable aux ménages et petites entreprises, rien n'indique qu'ils paieront moins cher leur électricité. Bien au contraire :

le gouvernement dirigé par Gabriel Attal doit maintenant définir les niveaux des taxes à appliquer à ce tarif. C'est lui qui en décide. Et il s'était engagé, du temps où Élisabeth Borne était à Matignon, à les augmenter, dans sa loi de finances pour 2024. Le ministre de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, a toutefois promis que l'augmentation des prix, toutes taxes comprises, sera d'au plus 10 %.

Qu'en pense Sparadrap ? (urgo, mercurochrome c pour le C S A)

Que tu devrais penser acheter un pull-over, un slip en laine mohair des moufles pour les mains et les pieds, ainsi éviter les petites "folies" à poil dans ton château

Auteur : Breizh  

Le prix de l'électricité augmente parce que les subventions ont coûté trop cher à l'État, et parce qu'il veut construire plein de centrales nucléaires, qu'aucun banquier ne financera, et qui produisent de l'électricité 3 fois plus coûteuse que les éoliennes (par contre il ne veut plus construire d'éoliennes, contrairement à tous les autres pays). Parmi le coût du nucléaire, il n'y a pas que la construction et le fonctionnement des centrales, et leur démantèlement dont le coût ruineux n'a encore jamais été estimé, mais aussi l'importation de l'uranium, et le retraitement en Russie de l'uranium usagé fabriqué à La Hague. (Poutine stocke aussi une partie de nos déchets nucléaires, à l'air libre dans des conteneurs qui rouillent: l'uranium usagé appauvri).