La violence ne fait pas de distinction, elle frappe tout le monde.
Les riches, les pauvres, les malades et les bien portants.
Aussi froide et pénétrante que le vent d'hiver qui souffle de L'Hudson, elle vous transit jusqu'aux os et vous laisse grelottant sans espoir de réconfort.
On dit que le coupable ne connaît pas le repos,
mais l'innocent le connaît-il ?
Le combat du bien contre le mal ne s'arrête jamais, car le mal survit toujours par la méchanceté des hommes.
La plupart des gens imaginent qu'un homme souffre parce que, sans crier gare, la Mort lui arrache la femme qui l'aime.
Mais sa véritable souffrance est moins futile, elle vient de la découverte que le chagrin, lui aussi, ne peut durer.
Même le chagrin est vanité.
Le temps ne va pas si vite quand on l'observe.
Il se sent tenu à l'oeil.
Mais il profite de nos distractions.
Peut être y a-t-il même deux temps, celui qu'on observe et celui qui nous transforme...