◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Salon de thé
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄219220221222223224225226227►►

La citation du jour ...
Auteur : Lilimarlene  
1777/1854

Date :    06-12-2025 09:15:16


"Une fois rien, c'est rien ; deux fois rien, ce n'est pas beaucoup, mais pour trois fois rien, on peut déjà s'acheter quelque chose, et pour pas cher."
Raymond Devos
Auteur : Lilimarlene  
1778/1854

Date :    06-12-2025 09:20:08


"J'écris parce que le monde dans lequel on est ne me convenant pas tout à fait, je me crée un monde parallèle, où je fais ce que je veux. Je crois que la plupart des gens qui écrivent, écrivent pour cela, pour créer autre chose que ce qui existe, une espèce d'évasion, un monde idéal."

Georges Brassens
Auteur : Lilimarlene  
1779/1854

Date :    06-12-2025 09:22:34


"La perfection me dégoûte.
Toutes ces femmes et ces hommes qui cherchent la perfection dans les stéréotypes créés par la société me font vomir. Foutus mannequins de viande, sans personnalité ni amour pour eux-mêmes. Mêmes vêtements, même musique, mêmes expressions, mêmes aliments, mêmes galipettes, mêmes voitures, mêmes vies... et finalement ? Mêmes suicides neuronaux de masse. Parce que vivre comme un automate est sans aucun doute un suicide. Quand tout le monde est pareil, tout le monde n’est personne.
La perfection est un petit oiseau en cage qui vit, mange, chie et meurt dans le seul but d’être admiré.
Je veux vivre libre, frigorifié, affamé, mais libre."

Charles Bukowski
Auteur : Lilimarlene  
1780/1854

Date :    06-12-2025 09:25:04


Oui, femmes, quoi qu'on puisse dire,
Vous avez le fatal pouvoir
De nous jeter par un sourire
Dans l'ivresse ou le désespoir.

Oui, deux mots, le silence même,
Un regard distrait ou moqueur,
Peuvent donner à qui vous aime
Un coup de poignard dans le cœur.

Oui, votre orgueil doit être immense,
Car, grâce à notre lâcheté,
Rien n'égale votre puissance,
Sinon votre fragilité.

Mais toute puissance sur terre
Meurt quand l'abus en est trop grand,
Et qui sait souffrir et se taire
S'éloigne de vous en pleurant.

Quel que soit le mal qu'il endure,
Son triste rôle est le plus beau.
J'aime encore mieux notre torture
Que votre métier de bourreau.

Alfred de Musset - Mademoiselle
Auteur : Lilimarlene  
1781/1854

Date :    06-12-2025 09:26:20


« Ce n'est pas celui qui te regrette à 2 heures du matin, seul dans sa chambre, incapable de dormir. C'est celui qui pense à toi à 15 heures, en riant avec ses amis, et se dit… ‘Si seulement tu étais là’. Parce que n'importe qui peut te manquer dans la solitude et l'ennui, mais si quelqu'un pense à toi au milieu d'un éclat de rire parce qu’avec toi, il rit encore mieux… ça, c’est autre chose. Ça, c’est réel. »
Charles Bukowski
Auteur : Lilimarlene  
1782/1854

Date :    06-12-2025 09:45:52


L'élégance regarda la femme et après l'avoir adorée voulut la surpasser. Elle y parvint en prenant lignes, chevelure et yeux de verre, en devenant chat, l'être le plus beau.

Guillaume d'Aquitaine
Auteur : Lilimarlene  
1783/1854

Date :    06-12-2025 09:48:03


Attraper le bonheur, c'est vouloir retenir un papillon dans sa main ou le prendre avec un filet. Tu précipites le filet sur lui et il s'abîme, c'est un bonheur gâché. Si c'est un bonheur agile, on ne ne peut le faire prisonnier et l'on court sans fin, c'est une agitation inutile, le bonheur est parti. Parfois il se laisse prendre sans dommage, il ne s'est pas débattu et il reste bien sage, un peu frileux sous le filet. C'est un bonheur fragile, fatigué, malade peut-être. Si tu attrapes un beau bonheur, un papillon rare, sans l'abîmer, si tu le prends dans ta paume et que tu la refermes pour l'emprisonner, il ne reste que de la poussière de bonheur sur les doigts, si tu le piques sur un bois il meurt. Il faut être comme l'arbre à papillons, prêt à accueillir le bonheur, et tu verras, il viendra sur ton épaule.

Bernard Giraudeau - Les Dames de nage
Auteur : Lilimarlene  
1784/1854

Date :    07-12-2025 09:28:22


“De part et d’autre de votre présent si fragile, le passé et l’avenir sont des monstres assoiffés de temps.”

Jean d'Ormesson - La Création du monde

◄◄219220221222223224225226227►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »