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À très vite »
Je voulais vous dire seulement que je vous aime avec vos défauts.
J'aime ou je vénère peu d'êtres.
Pour tout le reste, j'ai honte de mon indifférence.
Mais ceux que j'aime, rien ni moi-même ni surtout pas eux-même
ne fera jamais que je cesse de les aimer.
Maintenant on pourrait presque enseigner aux enfants dans les écoles comment la planète va mourir, non pas comme une probabilité mais comme l’histoire du futur.
On leur dirait qu’on a découvert des feux, des brasiers, des fusions, que l’homme avait allumés et qu’il était incapable d’arrêter.
Que c’était comme ça, qu’il y avait des sortes d’incendies qu’on ne pouvait plus arrêter du tout.
Le capitalisme a fait son choix : plutôt ça que de perdre son règne.
Plus je vieillis et plus je trouve qu'on ne peut vivre qu'avec les êtres qui vous libèrent, qui vous aiment d'une affection aussi légère à porter que forte à éprouver.
Ce qui manque le plus à nos vies, c'est l'émerveillement .
Rencontrer ceux qui s'émerveillent encore, d'un rien, d'un papillon,
de la pluie battante, d'un coquelicot, du chant d'un oiseau.
Presque rien.
Beaucoup.