Auteur : Motian  

Laurent Wauquiez a affirmé dans un communiqué ne pas avoir été « informé du coût de ces repas » et s’est engagé à « assurer à titre personnel le remboursement des sommes excessives »


Laurent wauquiez pas informé de ses dépenses
ça revient à dire qu'il dépense "sans compter"
Pour quelqu'un qui veut gérer le Pays, ça fait peur
Pas certain que les caisses du pays le lui permettent

Auteur : Odette34  

L’Afghanistan des talibans, le pays qui efface les femmes
. En trois ans, les talibans ont réintroduit la barbarie d’État en Afghanistan. La communauté internationale tolère le scandale.

Voilà plus de mille jours que les talibans ont interdit aux filles, dès l'âge de 12 ans, de fréquenter les écoles en Afghanistan. Mille jours qu'ils ont réintroduit la barbarie d'État dans ce grand pays d'Asie centrale transformé en un « émirat islamique ». Aucun autre pays n'a aboli les droits des femmes de façon aussi globale et systématique. Aujourd'hui, quelque 20 millions d'Afghanes sont contraintes de vivre en fantômes sur leur propre terre.

Quelle naïveté des dirigeants occidentaux, qui croyaient dur comme fer que la nouvelle génération islamiste serait plus « modérée » que la précédente ! Impatients de se retirer du pays, les Américains ont fermé les yeux sur le drame qui se préparait. Si incroyable que cela paraisse, l'accord conclu, le 29 février 2020 au Qatar, par les émissaires du président Donald Trump avec les talibans ne faisait aucune mention des droits des femmes.

Arrivé au pouvoir quelques mois plus tard, Joe Biden a appliqué sans sourciller les engagements pris par son prédécesseur. Les troupes américaines avaient à peine le dos tourné que les « étudiants en religion » entraient à Kaboul, le 15 août 2021, sans coup férir.

Depuis lors, les talibans se comportent en despotes, comme lors de leur premier passage au pouvoir (1996-2001). En trois ans, ils ont publié une cinquantaine de décrets qui, sous prétexte de moralité « islamique », restreignent de manière draconienne l'accès des femmes à l'éducation, à l'emploi, à la santé, à la justice. Elles sont bannies de la plupart des métiers du secteur public, des universités, des médias, des parcs, des bains publics, des salles de gym et de danse.

Elles doivent se couvrir des pieds à la tête dans l'espace public. Elles doivent toujours être accompagnées d'un mahram, un chaperon masculin. Même les salons de beauté ont été fermés. L'effacement des femmes, conjugué à l'émigration massive, aggrave la pénurie de services médicaux. Les médecins hommes n'ont plus le droit de les ausculter ; elles n'ont qu'à prendre leur douleur en patience. À titre d'exemple, plus aucun hôpital ne traite le cancer du sein.

« Apartheid sexiste »
Plus que d'une simple discrimination, c'est d'une persécution d'État que les Afghanes sont victimes. Un « apartheid sexiste », constitutif de crime contre l'humanité, comme l'ont écrit des experts de l'ONU dans un rapport publié en 2023. Outre les nouvelles législations, d'autres violations des droits humains se multiplient : mariages forcés, y compris d'enfants, violence domestique, féminicides… Celles qui osent se plaindre à la police quand elles sont battues par leur mari s'entendent répondre, selon le rapport onusien, qu'« elles l'ont probablement mérité ».

Se révolter contre le joug islamiste expose à l'emprisonnement, aux châtiments corporels, voire à la peine de mort. Plusieurs dizaines de femmes ont été flagellées en public rien que pendant l'année écoulée, selon l'ONG Afghan Witness. Le chef des talibans, le mollah Akhundzada, vient d'annoncer la réintroduction de la lapidation, notamment pour les cas d'adultère.

Si cette situation lamentable ne cesse de s'aggraver, c'est aussi parce que la communauté internationale assure le service minimum. Les Afghanes ont quasiment disparu de l'ordre du jour diplomatique mondial. En juin, l'ONU a accepté l'exigence d'une délégation talibane qu'aucune organisation de la société civile – et donc, aucune femme afghane – ne participe à une réunion à Doha portant sur l'aide à l'Afghanistan. Emmurées vivantes dans leur pays, effacées aussi sur la scène mondiale !

L'oppression talibane n'est pourtant pas un simple problème local. Elle accélère l'émigration, dont les pays européens doivent supporter le fardeau. Elle envoie au monde entier le signal que les femmes peuvent être persécutées impunément.

La perception d'une faiblesse de l'Occident a toujours des conséquences graves pour les peuples qui aspirent à la liberté. Ce n'est d'ailleurs pas une coïncidence si Vladimir Poutine envahissait l'Ukraine six mois après que les troupes de l'Otan eurent plié bagage en Afghanistan.

La barbarie moderne qui règne à Kaboul montre aussi, en creux, l'incapacité des grandes puissances asiatiques comme la Chine et l'Inde à remplir le vide géopolitique ouvert dans leur environnement immédiat par le repli des États-Unis. Le désengagement américain nourrit le grand désordre mondial et ne profite qu'aux tyrans. Ceux qui en doutent n'ont qu'à demander leur avis aux Afghanes.

www.lepoint.fr/editos-du-point/l-afghanistan-des-talibans-le-pays-qui-efface-les-femmes-13-08-2024-2567845_32.php

D'après nos correspondants des J.O. la maire de Paris à décidé d'y passer ses prochaine vacances (bien méritées il faut l'avouer).
Ce serait suite à un rapide plongeon dans la Scène qu'elle aurait eu subitement cette idée lumineuse.

Nous vous souhaitons un agréable séjour madame

Auteur : Odette34  

L'athlète olympique Muhammad Abdallah Kounta, membre de l'équipe de France d'athlétisme, est dans l'œil du cyclone à la suite de la découverte de messages anti-blancs et pro-Hamas qu'il a publiés sur les réseaux sociaux. La fédération d'athlétisme s'est saisie de l'affaire et va faire un signalement au procureur.

Présent depuis plusieurs années dans le collectif relais de l'équipe de France d'athlétisme, Muhammad Abdallah Kounta est l’un des hommes en forme de la saison. C'est donc logiquement qu'il fut sélectionné pour participer au relais 4x400 m lors des Jeux olympiques de Paris qui ont pris fin ce dimanche.

Néanmoins, malgré cet honneur, le coureur de 29 ans ne semble pas porter la France dans son cœur. En effet, comme le révèle le compte X/Twitter Sword of Salomon, Muhammad Abdallah Kounta a fait l’apologie des combattants du Hamas dès le 7 octobre 2023, a incité à la haine d’Israël, a banalisé la Shoah et a cité une sourate du Coran considérant les Juifs et les Chrétiens comme des ennemis.

En scrutant les réseaux sociaux du coureur, Sword of Salomon a découvert que ce dernier avait qualifié la France, le pays qu’il représente, de « soufFrance » et a reposté une publication la qualifiant de « pays de racistes dégénérés ». Plus polémique encore, en août 2021, il affirme vouloir « tuer Petit Blanc ».

Le coureur semble aussi particulièrement marqué par le conflit israélo-palestinien, likant des messages comparant l'arrestation de combattants du Hamas au camp de la mort nazi d'Auschwitz et glorifiant les militants du mouvement islamiste palestinien. Il s'est par ailleurs moqué des mesures de sécurité mises en place aux JO de Paris pour protéger les athlètes israéliens. Face à la polémique, le coureur a désactivé son compte X/Twitter, qui n'est plus accessible aujourd'hui.

Le vice-president du conseil régional d'Ile-de-France, Patrick Karam, a réagi à l'exhumation des tweets de Muhammad Abdallah Kounta et affirme que la fédération d'athlétisme va faire un signalement au procureur aux fins de poursuites pénales, le suspendent immédiatement et saisissent la commission de discipline pour le radier définitivement », a-t-il écrit ce mercredi sur X/Twitter.

Auteur : Odette34  

Et voici la « gauche iranienne », nouveau gaucho-fascisme

L’attentat de La Grande-Motte témoigne une nouvelle fois de la montée de l’antisémitisme en France, attisé par un gaucho-fascisme à la remorque de la République islamique d’Iran.

Par Franz-Olivier GiesbertPublié le 28/08/2024 à 06h00

Plaignons le pauvre nouveau Premier ministre, même si nous ne connaissons pas son nom à l'heure où nous écrivons ces lignes. Désolé de gâcher l'ambiance, mais cette nomination n'est pas un événement si important, comparée aux menaces qui pèsent sur la France.

« Nous avons hérité d'un trou noir », a tonné Keir Starmer, le nouveau chef de gouvernement (travailliste), horrifié par les 26 milliards de déficit budgétaire laissés par son prédécesseur (conservateur). Le nôtre s'élevait à 172,1 milliards d'euros en 2023, et il y aura encore un gros dérapage cette année. Bonne chance au successeur de Gabriel Attal !

Si le multiculturalisme a disloqué la société britannique, nous ne sommes pas mieux lotis non plus en matière d'antisémitisme : endémique en Grande-Bretagne, il est, en plus, attisé chez nous par des politiciens sans scrupules qui ne songent qu'à faire des voix dans les banlieues auprès des électeurs islamistes ou musulmans. Ce qui leur a, hélas, réussi aux dernières législatives, à en juger par les scores de David Guiraud ou d'Ersilia Soudais, la charmante personne que faisait se pâmer et même rire le massacre de Juifs du 7 Octobre.

Ce serait, paraît-il, une sottise d'imputer à la seule LFI la recrudescence des actes antisémites (+ 200 % depuis le début de l'année), ou l'incendie de la synagogue de La Grande-Motte, samedi dernier, par un individu vêtu d'un keffieh et d'un drapeau palestinien, uniforme en vogue chez des élus éléfistes « gazaouisés ». Soit. Mais comment expliquer que l'extrême gauche, reine de l'indignation sélective, ne dénonce quasiment que l'islamophobie alors que l'antisémitisme ou la cathophobie font beaucoup plus de dégâts en France ?

Il y a aujourd'hui en France une « gauche iranienne »incarnée par Jean-Luc Mélenchon et ses épigones, comme il y avait eu naguère une « gauche américaine » avec Michel Rocard : voilà l'explication. Pourquoi avoir peur de le dire ? C'est un événement politique majeur, que permettait déjà de subodorer le silence assourdissant de LFI lors de la révolte des femmes iraniennes contre le port obligatoire du voile, sauvagement réprimée par une République islamique sanguinaire. Après la chute de ses derniers modèles à Cuba et au Venezuela, l'extrême gauche française est désormais à la remorque de la mafia des mollahs.

www.lepoint.fr/editos-du-point/et-voici-la-gauche-iranienne-nouveau-gaucho-fascisme-28-08-2024-2568771_32.php