Bonjour à tous,
Nouveauté 2025!!
Festival Ma rue, un festival pour que les artistes présentent leurs aux professionnels, mais ouvert aux publics!
Dans la limite des places disponibles!
(Pas de liste d'attente 5 places max)
Saisissons l'occasion d'encourager, découvrir, aider la culture mise à mal cette année!!
Je vous propose de découvrir de nouvelles pièces, peu, jamais vu et que l'on échange ensemble.
Grosse journée non?
Pour vous permettre de choisir je vais faire une sortie pour chacune des pièces!
J'en ai vu déjà 2 sur 8.
Je suis gourmand de surprises!
Au plaisr de partager ce moment ensemble.
Loïc
Merci de vous inscrire uniquement si vous êtes sur de venir.
Présentation :
Notre histoire
DOLORES y matadoras ¡En busca del amor !
Création 2023
Trio pour déambulation hors les murs, interventions théâtrales, musicales et improvisées dans l’espace public et lieux non dédiés.
Ce spectacle est lauréat du 1er prix pour une Egalité femmes-hommes dans le Gard (mars 2023) (vidéo de remise du prix) ainsi que le Trophée 2023 des réserves de Biosphère - MAB France-Unesco
Le point de départ est l’univers de Dolorès, ses solos pour la salle et la rue. On retrouve son univers décalé, flamenco, kitch où les influences d’Almodovar et d’Alex de la Iglesia sont bien présentes.
Ces artistes se sont retrouvés devant porte close devant leur cabaret. Ils cherchent alors la rencontre dans un univers méconnu. Ils sont un peu perdus et sont en quête de reconnaissance artistique, et d’amour tout simplement. Comme le sont la plupart des artistes …
Nos trois personnages de matadors et de danseuses de flamenco, interpellent sur la question du genre. Et cela d’une manière encore plus contrastée et diversifiée qu’avec Dolorès en solo, puisque deux femmes matadors viennent épauler notre Dolorès androgyne.
Les intentions sous-jacentes sont bien de questionner sur les genres, mais aussi sur la féminité, le féminisme, les rôles masculins et féminins. Nous faire un peu voyager vers cette Espagne de la movida et du monde de la nuit madrilène. Parler du manque d’amour et du besoin d’affection, sujet universel dans lequel on se retrouve toutes et tous …
Les déambulations non verbales de nos trois figures de l’Espagne profondes sont marquées par :
- des scènes fixes, des images fortes et poétiques, non verbales.
- des déplacements et mouvements très visuels parmi le public, en utilisant les espaces à disposition
- cela peut devenir une procession permettant de célébrer quelque chose de joyeux ou de triste, toujours dans un esprit poétique et burlesque
- des actions, des connexions avec le public, les objets, les personnes isolées, toujours dans cette quête d’amour et de reconnaissance
- des chansons a cappella qui peuvent arriver si la rencontre avec quelques spectateurs s’y prête
- une chorégraphie qui pareillement peut survenir au moment opportun
- une scène de fête si la situation s’y prête
- la « conquête d’un espace privé » si la complicité établie avec des commerces ou des espaces privés le permet, alors nos trois personnages font un passage dans la vitrine d’un magasin, derrière le stand d’un poissonnier, au balcon d’un habitant etc. Tout est possible quand on est invité !
Les interactions avec le public sont à chaque fois des moments privilégiés, pour une ou plusieurs personnes, des moments consacrées, de douceur, de dialogue non verbal, de complicité qui se construit dans l’instant. Ces rencontres atypiques doivent rester ancrées dans l’esprit des spectateurs adultes et enfants.
Interprétation : Mariel Simonneau, Julia Langer, Jean-Christophe Coutaud;
Accompagnement mise en scène : Adrian Schvarzstein