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30 Août 2016




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Aidoso

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Prénom : Chantal
Sexe : Femme
Situation : Célibataire, avec enfant(s)
Date de naissance : 23 Jan 1961 (63 ans)
Localisation : Castries


Non classé(e)
Son petit mot

 

Je lance une sortie le 5 juin 2018 à 20h : cinecitoyen : L'utopie Rojava au coeur du chaos Syrien.

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mai 2018 : Pour fêter mai 68 dans la bonne humeur et pour les copains de la rando littéraire sur ce thème :


"Soyez réalistes, demandez l'impossible ! "
"Sous les pavés, la plage..."
"Il est interdit d'interdire"
"Merde au bonheur : vivez !"
"Exagérer, c'est commencer d'inventer"
"Ne me libère pas, je m'en charge !"
"défense de ne pas afficher"
"Je suis marxiste, tendance Groucho"
"j'emmerde la société, mais elle me le rend bien"
"ne vous emmerdez pas, merdifiez"
"Le gens qui ne travaillent pas ne s'ennuient jamais"
"Ceux qui prennent leurs désirs pour des réalités sont ceux qui croient à la réalité de leurs désirs"
" Ne prenez plus l'ascenseur, prenez le pouvoir"
" moins de 21 ans, voici votre buletin de vote (= un pavé dessiné sur l'affiche)
" la barricade derme la rue mais ouvre la voie"
"laissons la peur du rouge aux bêtes à cornes"
En réponse à la célèbre phrase de De Gaule "les français sont des veaux" :
"Il n'y aura désormais que deux catégories d'hommes : les veaux et les révolutionnaires. En cas de mariage, ça fera des réveaulutionnaires"

 

 

J'ajoute le 11 novembre 2017 :

Ecolo ? Vous aimez la nature et redoutez le mal qu'on fait à la planète ?

Ce roman magnifique pour se recentrer sur l'essentiel : qu'est ce qui est vraiment utile ? comment s'adapter à la pénurie pour survivre et vivre ?

J'ai vraiment aimé ce livre que je souhaite partager, faire connaitre.

"Dans la Forêt" Roman de Jean Hegland

Ed. Gallmeister- Nature Writing 2017

(Into the Forest- 1996 )

traduit de l'américain par Josette Chicheportiche.

(disponible notamment à la Librairie "le grain des mots", bd du jeu de paume à Montpellier)

4 ème de couverture =

" Rien n'est plus comme avant : le monde tel qu'on le connaît semble avoir vacillé, plus d'électricité ni d'essence, les trains et les avions ne circulent plus. Des rumeurs courent. Les gens fuient. Nell et Eva, 17 et 18 ans, vivent depuis toujours dans leur maison familiale, au coeur de la forêt.

Quand la civilisation s'effondre et que leurs parents disparaissent, elles demeurent seules, bien décidées à survivre. Il leur reste, toujours vivantes, leurs passions de la danse et de la lecture, mais face à l'inconnu, il va falloir apprendre à grandir autrement, à se battre et à faire confiance à la forêt qui les entoure, emplie d'inépuisables richesses.

Considéré depuis sa sortie (en 1996) comme un véritable choc littéraire aux Etats-Unis, Dans la forêt, roman sensuel et puissant, met en scène deux jeunes femmes qui entrainent le lecteur vers une vie nouvelle."

 

 

J'ajoute le 16 septembre 2017 :

Amoureuse des nuages, je n'ai pas résisté cet été à l'attrait

du folio n° 4537 :

"la théorie des nuages" de Stéphane Audeguy

que j'ai lu cet été. Voici ce que j'en dit :
Un voyage à la fois dans le présent fictif d'un riche collectionneur japonais en fin de vie et d'une jeune bibliothécaire, et dans le passé historique d'illustres inconnus (artistes peintres et scientifiques) : tous un peu fous, fascinés par le mystère et la beauté des nuages...c'est un peu la préhistoire de la météorologie, mais c'est un passé assez récent en réalité, à une époque où le cycle de l'eau n'avait pourtant pas encore été décrit, une époque où les nuages n'étaient pas aussi violents qu'aujourd'hui et qu'ils étaient porteur de rêves, entrainant les aventuriers sous d'autres cieux, c'était avant le nuage artificiel d'Hiroshima (dont il est aussi question) et bien avant le réchauffement climatique.

Le nez en l'air, rêvons, rêvons...

 

 

Je lance une sortie pour la matinée du samedi 3 juin 2017 rv à 9h : petite balade écocitoyenne

 

Au lendemain de la triste nouvelle du retrait des USA de l'accord de Paris sur le Climat, ne lâchons rien :

Changer peu à peu nos habitudes et préserver la nature et donc la Planète.

Aucun geste n'est insignifiant ni dans le sens de l'atteinte portée à la nature, ni dans le sens de sa préservation.

Je vous propose pendant la matinée de joindre l'utile à l'agréable et de participer à la balade de nettoyage annuel de la garrigue à Castries par toutes les bonnes volonté.

 

A cette occasion, je vous offre à lire cette courte fable :

 

" La part du Colobri"

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de Forêt.

Tous les annimaux, terrifiés et attérés, observaient, impuissants, le désastre.

Seul le petit colibri s'activait, allant chercher quelques gouttes d'eau dans son bec pour les jeter au feu.

Au bout d'un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit :

- Colibri ! tu n'es pas fou ? Tu crois que c'est avec ces gouttes d'eau que tu vas éteindre le feu ?

- qu'importe, répondit le colibri, je fais ma part.

Pierre Rabhi (extrait de "La Part du colibri") -

Trouvé dans les philo-fables pour la Terre- Michel Piquemal.

 

                                                         *****

 

Ma devise : "être toujours du côté de la Vie".

Il me faudrait des journées de 72 heures pour faire (en plus de mon boulot) tout ce que j'ai envie, tant j'aime de choses dans la vie.

 

Mais , même pendant les vacances, il faut choisir :

- la mer ou le lac de Cécelès ?

- découvrir les environs ou partir plus loin, voire très loin ?

- ciné sous les étoiles ou concert jazz ?

- faire des photos du coucher de soleil sur les étangs aux cabanes de Maugio ou à Villeuneuve lès Maguelone ?

- marché nocturne des producteurs bio ou picnique du soir sur la plage ?

- expo ou brocante ?

 

A la rentrée, ça va encore être dur devoir me limiter à quelques activités régulières : peinture, chorale, associations, abonnement concerts, et une ou deux activités physiques...

la marche en mer, ça me tente bien !

 

Je craque forcément pour :

- une sortie en voilier l'été, 

- un week-end de balades au soleil dans les forêts aux couleurs d'automne dans les Cévennes, en Aveyron ou ailleurs, surtout s'il y a des cepes ou des giroles,

- en hiver : un week-end au ski,  un feu dans une cheminée avec un verre de bon vin, les amandiers en fleurs dans la garrigue et les mimosas dans les jardins, les ciels d'hiver, les lumières rasantes...

- au printemps, la succession des fleurs dans la garrigue, les jours qui ralongent, un déjeuner au soleil en bord de mer...

J'aime toutes les saisons.

Je me sens extrèmement chanceuse d'habiter cette région depuis 5 ans, infiniement libre dans les vagues.

J'aime les gens vivants et enthouisates. 

Quand je contemple la nature dans mes balades solitaires, je regrette souvent de ne pas partager cette émotion avec quelqu'un.

(été 2016)

 

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Après la rando littéraire de ce jour (26 février 2017) sur le théme de l'étonnement,

j'ajoute ce que j'ai écris pour cette occasion :

 

 

                     L’étonnement

 

 L'étonnement, c'est l'enfant têtu en nous, qui refuse le temps pour nous garder Vivants,

pas seulement « en vie »,

mais : Vivants...

…si Vivants,

de cet appétit insatiable de vivre,

de découvrir, d'apprendre, de comprendre

et surtout de nous émerveiller.

 

Bien avant les mots, le petit enfant ne cesse d’apprendre avec tous ses sens ce qui est nouveau pour lui, et tous les jours, il y a des premières fois, les expérimentations sensorielles : visuelles, gustatives, olfactives, tactiles, auditives.

Le goût des épinards et celui de la compote de pommes.

Découvrir c'est distinguer,

et distinguer, c'est apprendre,

c'est classifier, en commençant par 2 catégories : connu /inconnu,

et rapidement le cerveau organise une arborescence de catégories.

Avec à chaque nouveauté, l'étonnement c'est l'instant d'hésitation dans lequel un élément nouveau chemine sur cette arborescence, jusqu'à trouver sa place dans notre forêt mentale.

 

L'être humain, comme la science, procède et progresse par le seul jeu de l'étonnement. L'étonnement est une méthode. C'est par la pensée divergente que l'on découvre ce que l'on ne cherchait pas.

 

Passent les jours, les mois et les années, et notre forêt mentale est riche d'une telle « biodiversité » et de tant d'interactions, que nous n'avons même plus conscience du trafic et des embouteillages que génèrent tous les stimuli dans notre cerveau.

 

Alors pour s'étonner, il faut savoir s'arrêter un instant, s'arrêter dans l'instant, se rendre disponible à la découverte, se laisser surprendre, être attentif à tout ce que la vie nous offre de nouveauté, de beauté, d’anormalité.

 

Celui qui croit avoir « tout vu » et « tout appris » perd la saveur des choses et il lui faut alors toujours plus de nouveautés. Celui qui est blasé, aigri, a seulement perdu sa capacité d'étonnement.

Il ne parvient à renouer avec l'étonnement que si celui-ci est provoqué par un élément au caractère incongru ou insolite.

 

Pour écrire une nouvelle, il ne suffit pas d'avoir un commencement, d'avoir une idée, il faut une chute qui étonne.

 

Surtout ne racontez pas le film que vous avez vu, car le plaisir du spectateur réside en partie dans le fait qu'il pourra être surpris et renouer ainsi avec sa capacité d'étonnement.

 

L’art s'est voulu moderne, puis contemporain, la créativité y étant mesurée par la capacité de générer de l'étonnement.

 

Ce que nous espérons trouver dans un voyage, dans une exposition, dans un livre, dans un film, c'est d'être encore étonné de quelque chose.

 

Pourtant, nous pouvons voyager tout près de chez nous, nous pouvons photographier et filmer - même simplement mentalement - ce qui nous entoure, et retrouver la joie que procure l'étonnement de mille petits détails de la nature et de notre environnement.

 

Pour que l'étonnement se produise et fasse naître la joie, il suffit pourtant d’être dans l'instant présent, connecté à notre environnement par tous nos sens.

Le silence et la solitude, la promenade y sont propices.

 

L'étonnement, c'est ce grain de beauté sur la peau des jours.

 

Ces grains de beauté de Dame Nature nous sont si familiers que nous ne les remarquons plus... et puis un jour : nous nous y arrêtons.

 

Pourquoi ce jour-là à cet endroit-là ? Sans doute uniquement parce que nous sommes disponibles, parce que nous avons ouvert tout grands les volets, les fenêtres et les rideaux du mental, pour aérer notre cerveau.

 

Et voilà que je reste stupéfaite, trempée de pluie, devant le spectacle magnifique du très tendre et lent accouplement de deux escargots ...puis saisie aussi par ce bébé crapaud immobile, sans doute transi de peur par mon ombre et mes pas.

 

C’est le crissement des feuillages et feuilles mortes d’où émerge ...le charmant museau d’un hérisson !

 

C’est le premier chant des cigales : ça y est, c’est l’été !

 

C'est aussi, tôt le matin, ce bruit singulier qui me signale, avant que je les vois, deux écureuils qui se suivent sur leur chemin de branches.

 

Ce sont les amandiers déjà en fleurs, lors d’un retour de vacances de février.

 

Ce sont les jacinthes, les jonquilles et les tulipes qui sont soudain sorties de terre cette semaine.

 

Ce sont les flamants roses qui décollent l’un après l'autre pour se suivre, l'un derrière l'autre, dans une gracieuse chorégraphie.

 

C'est ce petit lapin surgit d’un buisson entre garrigues et vignes.

 

C'est encore ce magnifique coucher de soleil, qui ne dure que quelques minutes et qui, un autre jour du même endroit, ne pourra jamais être exactement le même.

 

Chaque événement est unique nous pouvons goutter sa singularité.

 

Chaque jour, nous recevons ainsi ces cadeaux de la vie : il ne tient qu'à nous de nous laisser nous étonner.

 

L'étonnement, c'est à peine le temps d'une ou deux respirations pendant lesquelles le cœur s'emballe, pendant lesquelles le corps entier s'irrigue de petits picotements silencieux, jusqu'à nous tirer imperceptiblement le sourire particulier de l'émerveillement, de la joie pure.

 

L'étonnement, c'est la meilleur antidote à la lassitude, à l'ennui, au vieillissement, à la dépression, aux soucis.

 

L'étonnement, c'est le miracle quotidien, possible à la seule condition de conserver cette ouverture, cet appétit de la vie.

 

C'est une petite gymnastique faciale que nous faisons presque à notre insu, en écarquillant les yeux, en lissant notre front, faisant disparaître les deux rides verticales parallèles, ces ornières profondes du chemin de nos soucis.

 

L'étonnement dans la relation à l'autre, c'est aussi la certitude que l'altérité fait de l'autre un monde entier à découvrir :

« Toi, tu m'étonneras toujours ! » : N'est-ce pas là une très belle déclaration d'amour ou d'amitié, qui veut dire : « Avec toi, je ne m'ennuierai jamais, alors j'aurai toujours plaisir à te côtoyer ou être à tes côtés. »

 

L'étonnement est d'abord une attitude dans la vie.

 

J'aime bien ces quelques mots de Christian Bobin, dans le tout petit livre « L'éloge du rien », édité chez Fata Morgana :

« Ne rien prévoir, sinon l'imprévisible.

Ne rien attendre, sinon l'inattendu. »

 

L'étonnement, c'est l'instant singulier suivi d'un point d'exclamation !

 

L'étonnement, c'est ce qui précède l'émerveillement et sa joie silencieuse, qui prennent alors tout leur temps pour s'étirer dans la contemplation, avec beaucoup de points de suspension...

 

Chantal (26 février 2017)

 

J'ajoute le 2 juin 2017 :

 

Une petite citation qui me plait :

" Le Bonheur est une petite chose qui se grigote, assis par terre, au soleil" . Jean Giraudoux.

 

Mon humeur intérieure :

A si tous les américains pouvaient se montrer dignes de leurs premiers habitants, les amérindiens, qui vénéraient la terre-mère et respectaient la Nature et donc la Planète...

Très triste du retrait des USA de l'accord de Paris sur le Climat, Cob21...

Plus que jamais l'écologie, la transition énergétique, la réduction des déchets devraient pénétrer la conscience de chacun, partout dans le monde.

Pour profiter durablement des beautés de la Nature, préservons là !

Consommer local, éviter les embalages, laver et réutiliser les gobelets en plastic, acheter en vrac avec des sacs réutisables, faire un compost, proposer des covoiturages (y compris gratuits)...tous ces petits gestes du quotidien à inscrire dans nos habitudes.

Ce n'est pas parce que de très gros polueurs ne pensent égoïstement qu'à leur intérêt économique qu'il faut négliger tous ces petits gestes si peu contraignants : l'égoisme de quelques riches puissants ne doit pas nous autoriser à les imiter.

Ne lâchons RIEN !

Je vous conseille aussi les sorties avec LGM (Erick) : vous en apprendrez beaucoup sur les tortues à sauver, mais aussi sur la flore, la végétation, et de beaux échanges sur la préservation de la biodiversité.

 

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