"La France insoumise est en train de souiller et piétiner le combat palestinien a des fins électorales. Je ne leur pardonnerai jamais", réagit jeudi 25 avril sur franceinfo Léon Deffontaines, tête de liste communiste aux élections européennes.

Le candidat communiste se dit "mal à l'aise avec les positions de la France insoumise". "La rupture" avec LFI "est consommée", a-t-il poursuivi.

"Quand je les vois bafouer la question palestinienne juste à des fins électorales, je pense que c'est un problème", a jugé le candidat communiste de 28 ans. "Comme la majorité des Français, je ne veux pas être associé à La France insoumise, aux propos et à la dérive qu'elle a eus ces dernières années", a-t-il souligné.

L'occasion pour Léon Deffontaines de rappeler le rejet en mai 2023 de la proposition de résolution à l’initiative du député communiste Jean-Paul Lecoq, "condamnant l’institutionnalisation par l’État d’Israël d’un régime d’apartheid".
Un texte que n'avait pas signé Mathilde Panot, tout comme le député du Nord Adrien Quatennens.
"Si vraiment ils étaient engagés pour la cause palestinienne comme je le suis depuis quelques années, ils se seraient engagés à nos côtés bien avant et pas uniquement lors des élections", a fustigé l'ancien responsable des Jeunes communistes.

La tête de liste communiste aux élections européennes a rappelé sa volonté de "faire de la question sociale" la priorité de sa campagne, alors qu'"à gauche, elle se résume à un enjeu autour de l'Ukraine, d'autres autour de la Palestine".
"Cette gauche du travail, je souhaite qu'elle prenne le plus de place possible", défend-il. "Une gauche du travail" qu'incarne le député Insoumis de la Somme François Ruffin, selon Léon Deffontaines, originaire d'Amiens.

"Je pense que François Ruffin aurait beaucoup plus à faire, à soutenir la liste que j'ai l'honneur de mener de la gauche du travail que celle de la France insoumise", estime-t-il.

Tiptop,

je ne parle pas d'acte de résistance dès l'instant où l'on s'en prend à des civils en temps de guerre.
Mais je n'ai aucune difficulté non plus à parler de génocide humain (car pour moi ce terme n'est pas réservé à une certaine communauté qui aurait souffert au siècle dernier) lorsque l'on assassine un peuple que l'on opprime depuis des décennies sous le regard approbateur des 3/4 du monde politique.

On peut ne pas être pro Hamas tout en étant complétement anti-sionards.

Auteur : Duncan  

Fruit Exotuk, t'as le chic pour associer les plus naïfs.

Auteur : Tiptop  

Ecrire "aurait souffert" fallait oser aussi.
Tu douterai encore de la déportation et de l'extermination des juifs en 40 ou tu les hais à ce point pour nier des faits historiques?

L'honnêteté serait aussi d'admettre:

Si le Hamas avait rendu les otages,
( la condition première au retrait de Tsahal de la bande de gaza),
les choses n'en seraient pas là.
Des milliers de morts auraient été évités et cette guerre contre l'Iran qui a aujourd'hui de plus fortes probabilités d'arriver.

Ils sont là les faits, les liens de causes à effet et il ne faudrait surtout pas l'oublier.

Le 3/4 du monde politique aurait surement tourné le dos au Israéliens s'ils avaient continué leur massacre de civils a Gaza,
la seule raison qui fait que ce n'est pas encore le cas à mon humble avis c'est cette recherche et libération d'otages.

Auteur : Tiptop  

Même cause même effet: les Ukrainiens portent encore des insignes d'une autre époque et glorifient ceux qui les ont porté?
La population Russe à encore des raisons pour soutenir Poutine et sa guerre à la c.. peu continuer.
Tous ces gens là ne veulent pas la paix, pourtant il suffirait peut-être seulement d'admettre les erreurs commises, d'avoir un peu d'honnêteté pour tout arrêter. Au lieu de ça on jette de l'huile sur le feu tout en sachant que ça n'éteint pas les incendies.

une certaine communauté qui aurait souffert au siècle dernier)

La Shoah (hébreu : שואה, « catastrophe, anéantissement ») est l'entreprise d'extermination systématique, menée par l'Allemagne nazie contre le peuple juif pendant la Seconde Guerre mondiale, qui conduit à la disparition de cinq à six millions de Juifs, soit les deux tiers.

Un détail ?