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Merdias gauchistes
Auteur : Odette34 
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Date :    14-04-2024 09:10:40


Auteur : Odette34 
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Date :    14-04-2024 09:12:54


Télérama a consacré un portrait de quatre pages à l’islamologue Gilles Kepel, dans lequel on nous annonce que celui-ci « fraye aujourd’hui avec les médias d’extrême droite ». Voilà une révélation qui n’est pas anodine et dont on a hâte de découvrir l’ampleur. Or qu’avons-nous pour preuve ? Que « s’il était invité de la matinale de France Inter le 25 mars, on lit désormais davantage Kepel dans les colonnes du JDD sauce Bolloré ou chez les médias d’extrême droite ».

Le politologue aurait donc le tort d’accepter de répondre aux médias de tout bord ? Voilà qui n’est pas sans rappeler les heures les plus sombres du pluralisme et du débat démocratique. Mais ce n’est pas tout : en 2023, il a aussi « préfacé l’ouvrage de Florence Bergeaud-Blacker, une anthropologue prisée par l’extrême droite ».

ATTAQUES PERSONNELLES
On connaissait déjà l’accusation par association, « proche d’untel, lui-même proche de l’extrême droite ». Télérama va plus loin et invente l’éreintement par appréciation. Le journal rappelle également que son livre Prophète en son pays est « un brûlot » qui « donne à voir une rancune tenace ». Tout ce qui n’est pas bienveillant ne peut être que généré par des passions tristes.

Le reste n’est qu’une longue suite d’attaques personnelles de connaissances auxquelles se mêlent des critiques gratuites de son travail de chercheur. Il n’en faut pas plus pour que Télérama en déduise que, « de l’avis général », Gilles Kepel « a déserté de longue date le champ de la recherche ».
Si l’hebdomadaire n’est pas parvenu à trouver un seul contradicteur, ce ne peut être, hélas, que le fruit du hasard. La providence est si capricieuse.

Télérama moque aussi sa thèse selon laquelle il existerait « un djihadisme d’atmosphère ». « "C’est un concept au doigt mouillé, et surtout le marchepied parfait pour l’extrême droite", s’étrangle un chercheur. » Largement suffisant pour invalider le concept.
D’ailleurs, la démission du proviseur du lycée Ravel ou le passage à tabac de Samara attestent, s’il était besoin, l’inanité de cette thèse. « Qu’est-il arrivé au brillant politologue ? », se demande le journal. Pas grand-chose, si ce n’est, précisément, que, contrairement à Télérama, il a peu changé au cours de ces trente dernières années.
Auteur : Odette34 
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Date :    02-05-2024 11:09:33


Comment la radio France inter sélectionne-t-elle ses invités?

Je ne pense pas qu’on puisse dire que la matinale de France Inter est de gauche. » Léa Salamé, émission Quotidien du 6 septembre 2023.

Dernièrement, sur France 5, dans l’émission “C médiatique”, Adèle Van Reeth, directrice de France Inter, a affirmé que, pour ce qui est du pluralisme, cette radio publique est exemplaire.
Elle ne comprend pas les reproches qui lui sont faits.
Quoi? France Inter serait de gauche? Il y aurait des personnalités qui y seraient interdites d’antenne malgré leurs œuvres, leurs livres, l’intérêt que leur portent un large public ou d’autres médias? « Il n’y a pas de black listing de personnes en particulier », a affirmé Mme Van Reeth, avant d’ajouter que « tout le monde est bienvenu sur France Inter ».

Climat, musulmans, transgenres : les sujets qui fâchent
Toutefois, a-t-elle tenu à préciser, France Inter ayant « certaines valeurs qui sont toutes au service de l’intérêt général […] elle a choisi, en ce qui concerne le réchauffement climatique et la cause écologique, de ne pas donner la parole à des personnes qui contesteraient le fait même du réchauffement climatique ».
Et de conclure en usant du sabir de l’étudiant en première année de communication médiatique : « C’est un engagement de Radio France au nom d’une valeur qui est à la hauteur de la mission qu’on doit accomplir. » Hormis le fait qu’on ne voit pour quelles raisons sérieuses – « au nom d’une valeur » qui n’en est pas une – quiconque ayant une expertise dans le domaine concerné ne pourrait pas venir exposer des arguments interrogeant l’idée même du « réchauffement climatique »,
Mme Van Reeth a menti par manque de précision : la charte de Radio France intitulée “Le Tournant” stipule en effet que la radio publique « sort du champ du débat la crise climatique, son existence comme son origine humaine ».
En clair, les personnes questionnant le dogme anthropique du changement climatique entériné par le GIEC ne sont pas non plus les bienvenus sur les chaînes de la radio publique.
........
Auteur : Odette34 
4/14

Date :    02-05-2024 12:32:50


Autre exemple : si les auteurs d’un livre récent sur « ces musulmans diplômés mais discriminés qui fuient la France » ont pu promouvoir leur ouvrage sur France Culture, France Info, France Inter et France TV, il ne semble pas que Dora Moutot et Marguerite Stern aient eu la possibilité de venir, elles, y présenter leur essai sur les dangereuses dérives de l’idéologie transgenre.
Mais, vu l’ambition pluraliste revendiquée par l’audiovisuel public, cela ne saurait tarder. Encore que, faut voir…
Sur France 5, la chroniqueuse du “Magazine de la santé” Enora Malagré s’est dite en effet « ulcérée » par le fait « qu’on invite ces… deux personnes sur les plateaux télé ».
Heureusement, a-t-elle laissé sous-entendre, cela n’arrivera pas sur « le service public, où la tolérance et l’inclusion sont les maîtres-mots ».
Mme Malagré, bouffie de suffisance bien-pensante, ne se rend même plus compte des sottises paradoxales qu’elle profère.
Furibonde, elle conclut : « Il n’y a pas de féminisme sans femmes trans » – phrase qui restera dans les annales de la télévision française et amusera beaucoup nos petits-enfants, dans quelques années, lorsque tout le monde sera redescendu sur Terre.

La couleur politique de la matinale de France Inter débattue
« Il est plus facile pour un riche d’entrer dans le royaume des cieux, qu’à un journaliste de droite de se faire embaucher sur France Inter » affirmait Eugénie Bastié sur Europe 1 le 17 février 2023.


Auteur : Horel 
5/14

Date :    03-05-2024 07:42:59


Merci pour ces infos ....france inter service public au service des gauchistes.... !!
Auteur : Odette34 
6/14

Date :    03-05-2024 11:02:30


La seule matinale de France Inter – orchestrée par Nicolas Demorand, Léa Salamé et Sonia Devillers en semaine, Ali Baddou et Marion L’Hour le vendredi et le week-end – ne laisse planer aucun doute :
France Inter est une radio de gauche, européiste, immigrationniste et écolo-woke.
Quant au reste de la grille, on peut dire qu’il y flotte un épais « gauchisme d’atmosphère ». En vue des élections européennes, France Inter, comme la majorité des médias audiovisuels, a l’obligation depuis le 15 avril de respecter un principe d’équité.
Sur son site, l’Arcom précise que « les comptes rendus, commentaires et présentations auxquels donnent lieu les élections doivent être exposés avec un souci constant de mesure et d’honnêteté ».

Comment faire semblant de respecter ces recommandations tout en continuant en réalité de favoriser la gauche européiste et immigrationniste et de discréditer les représentants politiques qui ne sont pas en odeur de sainteté dans la Maison Ronde ?
D’abord, en conviant des personnes peu connues du grand public, supposément neutres dans cette campagne mais en réalité sur la même ligne pro-UE fédéraliste, immigrationniste et multiculturaliste que Raphaël Glucksmann. Exemple : mardi 23 avril, Nicolas Demorand recevait l’écrivain Giulano da Empoli. Celui-ci a dirigé le dernier numéro de la revue géopolitique Le Grand Continent sur laquelle Nicolas Demorand ne tarit pas d’éloges. Cette revue est éditée par le Groupe d’études géopolitiques sis rue d’Ulm, à l’ENS, et est fort prisée de tous ceux qui militent pour une UE élargie et « souveraine ».

L’entretien a donc été une ode à l’UE, à son avenir fédéral radieux, à sa transition écologique nécessaire, à son immigration heureuse, le tout agrémenté d’un discours rodé contre les « climatosceptiques » et les « forces nationales-populistes ». La poussée électorale de « l’extrême droite » dans toute l’Europe ne pourra sans doute pas être évitée, estime Giulano da Empoli en ajoutant dans la foulée une réflexion retenant l’attention : « Mais il n’y aura pas un changement de majorité trop important au Parlement européen.
Cela ne va probablement pas tout bousculer. On a une fenêtre d’opportunité de quelques années pour essayer de faire des choses. »

Traduction : malgré les quelques sièges que les partis dits d’extrême droite vont récupérer, la majorité du Parlement européen restera grosso modo sur la ligne actuelle et aura cinq ans pour entériner les projets de destruction des nations qui sont dans les tuyaux de la Commission européenne et visent à voir advenir le plus rapidement possible l’Europe fédérale et supranationale chère aux Allemands, à Raphaël Glucksmann et à Emmanuel Macron qui se voit déjà président de celle-ci.


Auteur : Horel 
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Date :    03-05-2024 12:16:20


Auteur : Odette34 
8/14

Date :    03-05-2024 14:29:01


L’humoriste Guillaume Meurice convoqué à un entretien préalable au licenciement par Radio France
Dans l’attente de cet entretien, le chroniqueur de France Inter est suspendu de l’antenne. Dans l’émission « Le Grand Dimanche soir » du 28 avril, il a réitéré les propos sur le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou qui avaient suscité, fin octobre 2023, les critiques d’une partie du public.
L’humoriste de France Inter a rendu la nouvelle publique avant même que la presse ne s’en empare. Dans un message intitulé « A propos de liberté d’expression… », accompagné d’une émoticône clownesque, publié sur X, jeudi 2 mai en fin d’après-midi, Guillaume Meurice a annoncé qu’il était « convoqué à un entretien préalable » par Radio France, « en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’à la rupture anticipée de [son] contrat à durée déterminée pour faute grave ».

Dans sa chronique du dimanche 28 avril, il a réitéré les propos qui avaient suscité les critiques d’une partie du public au début de la saison sur France Inter. « Si je dis : Nétanyahou, c’est une sorte de nazi, mais sans prépuce, c’est bon, le procureur l’a dit cette semaine. Allez-y, faites-en des mugs, des tee-shirts, c’est ma première blague autorisée par la loi française », a-t-il ri, sous les applaudissements du public.

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